(1) Complications obstétriques pendant la grossesse ou encore lors de l'accouchement

(2) Pendant la grossesse, la théorie dominante est celle de l'infection

(3) Pendant l'accouchement, on parle d'un manque d'oxygène (hypoxie fétal)

(1) INFECTION RÉTROVIRALE : suppose un visur qui devient partie intégrante du génome et qui modifie les gènes et leurs expressions chez le sujet et ses descendants.  Mutation génétique due à un virus qui enfante un nouveau bagage génétique.

(2) INFECTION VIRALE AU CERVEAU : chez l'adulte pas de preuves solices.  Infection virale, chez l'adulte, qui fait que la personne développe un TMG.

(3) INFECTION VIRALE À L'ENFANCE : En liens avec les théories neurodéveloppementales, mais pas encore soutenues par des preuves.  PEndant que l'Enfant est jeune, il attrape un virus qui, comme qu'il est encore en développement, modifie l'ADN et amène un facteur de risque de TMG.

(4) EXPOSITION DE LA MÈRE À UN VIRUS PENDANT LA GROSSESSE : A le plus de preuves - plusieurs études soutiennent un lien entre la Sz et le tr. BP et un virus lors du 2e trimestre.

(5) RÉACTION ANORMALE DU SYSTÈME IMMUNITAIRE À UN VIRUS : créant une modification des tissus cérébraux et entraînant la pathlogie OU le virus cause un désordre immunitaire et le cerveau attaque ses propres tissus (de l'enfant).

(6) LA SZ SERAIT UNE FORME DE DÉSORDRE IMMUNITAIRE DU CERVEAU : à soi même, sans virus.

+ Influenza

+ Rubéole

+ MTS (gonorrhée, syhphilis, condylomes, ...)

+ Cytomégalovirus (de la famille de l'herpès) lié à des problèmes de l'enfant plus tard pour TMG.

+ Liens possibles avec les naissances en hiver

(Article St-Hilaire ,Anne)

être né en hiver...

Être né en hiver est un facteur de risque différent

- mère plus en contact avec des virus

- luminosité (changegent d'éclairage)
Dép. saisonnière
BI aussi saisonnier

- Température?

COMPLICATIONS À LA NAISSANCE

Explications possibles de l'augmentation des TMG

Plusieurs études ont démontrées un lien entre les complications obstétriques et des TMG plus tard...mais on ne sait pas si ces troubles sont arrivés à cause de prédispositions génétiques (ou non?)

     - Manque d'O2 (hypoxie fétale)

     - Diabète de grossesse, pré-éclampsie, malformations

       congénitales.

     - Hémorragies, incompatibilité sanguines (Rhésus)

     - Faible poids de l'Enfant, petite circonférence de la tête

Note : il n'y a qu'un risque plus élevé seulement, des recherches rétrospectives sont en cours.

(1) Au fait d'être porteur d'un gène susceptible à développer un TMG.

(2) Au fait que la mère ait attrapé un virus pendant la grossesse.

-> Pour l'instant, certaines études retrouvent les 3 (gènes + infections + plb obstétriques)

-> D'autres ne trouvent que l'infection

-> d'autres encore trouve seulement l'hypoxie (prb obstétrique)

DONC les trois scénarios sont possibles : chez certaines personnes, il y a 3 facteurs, chez d'autres l'un ou l'autre, mais ce n'est pas automatique!

En neuroanatomie, une théorie se concentre tout particulièrement sur les régions du cerveau?

Certaines recherches ont démontré que des zones particulières étaient atteintes :

Résultats des études (surtout post-mortem, CT, MRI, MRS) suggèrant une modification chez les TMG

EN GÉNÉRAL (?) :  

[image]

 (endroits)

RAPPEL :

[image]

Dépression : SHIVaM

Striate réduite

Métabolisme fronto-temporal réduit

MANIE : AAAh VPH

Augmentation volume des ventricules

Augmentation proimminence sulcale (sillons)

Augmentation hypertintensités dans la matière blanche

Tr. BIPOLAIRE  :

Volume Cervelet réduit 

Volume Cortex préfrontal réduit

SCHIZOPHRENIE :

Volume lobes frontaux diminués

Volume lobes temporaux diminués

Volume hippocampe diminué

Augmentation volume des ventricules 

Activité cortico-striatale diminuée

Activté cortico-thalamique diminuée 

Asymétrie des hémisphères

Altération du métabolisme neuronal

(1) Certains chercheurs pensent que OUI...mais seulement pour certains cas très sévères : avec apparition dans l'enfance par exemple de déficits cognitifs très importants.

(2) NON pour les autres (qui ont un parcous plus varié, qui répondent bien aux traitements, qui sont en rémission)...

Nous sommes bien incapable de dire avec une coupe du cerveau quelle pathologie est associée à quelle personne, car en réalité, il s'agit d'une moyenne entre plusieurs cerveaux.

Non, ils ne sont pas apparents chez tous ET ne font pas l'unanité des chercheurs :

     (1) il y a contradiction des études (on a trouvé des
     ventricules anormalement petits chez les sujets contrôles)

Non, il y aurait le même nombre de neurones chez les personnes avec un TMG que celles sans TMG.

[image]

Les études soutiennent davantage des dérèglements au niveau des circuits, i.e. de la communication synaptique de certaines régions en particulier (lobes frontaux, temporaux, préfrontaux, amygdale, striate, hippocampe, cervelet).

Le problème n'est pas nécessairement les parties du cerveau, mais bien plutôt les parties.  Ce n'est PAS la forme NI la densité, mais bien le lien entre les strucutres.

L'imagerie permet de démontrer des déficits spécifiques au niveau de l'activation du cerveau en lien avec les déficits et les symptômes.

Les personnes dites contrôles, lorsqu'elles réagissent à une tâche cognitive, réagissent plus et plus large.

Suggère que les sujets avex Dx de Sz ne réagissent pas de façon aussi intensive...!  Et ce n'est pas parce que la personne est moins concentrée, mais bien parce que moins de liens synaptiques se feraient.

Bien qu'utilisée dans les scan et observé comme diminuant ou augmentant, l'amygdale réagit à la médication et à la thérapie (élargissement) donc même si on retrouve des altérations dans le cerveau à un moment X, on n'a pas de garantie de trouver la même structure dans 1,2 ans.

NEUROPHYSIOLOGIE

Quelle hypothèse a longtemps régnée en neurophysiologie au sujet de la provenance de la Sz?

L'hypothèse de la dopamine a longtemps régnée (et encore dans certains milieux) :

   - Trop de récepteurs D2 causeraient symptômes

   - Trop de récepteurs D1

Preuves : les amphétamines agissent sur les récepteurs D2 et donnent des symptômes similaires à la psychose...

Bien que ce soit soutenu par les effets des amphétamines (agissent sur la dopamine) qui provoquent des symptômes similaires à la psychose...

En réalité ce n'est pas si clair que cela, car le rôle exact de la dopamine car les nouvelles molécules prescrites n'agissent pas sur la dopamine et agissent sur les symptômes positifs...

De multiples systèmes et neurotransmetteurs sont impliqués dans les TMG 

En schizophrénie :  

(1) Le système GABAenergique

(2) Le système glutaminergique (NMDA) lié aux problèmes cognitifs.

(3) La sérotonime

(4) La norépinéphrine

Pour le trouble bipolaire:

(1) GABA

(2) Glutamate

(3) Dopamine

Pour la dépression  :

(1) monoamine

donc dérèglement sérotonine, dopamine, noradrénaline

...qui serait en lien avec l'axe HPA (cortisol).

Bref, plusieurs systèmes sont impliqués.

La dopamine =

Neurotransmetteur inhibiteur qui est impliqué dans le contrôle du mouvement et de la posture. Il module aussi l'humeur et joue un rôle central dans le renforcement positif et la dépendance.

Acide gamma-aminobutyrique

Neurotransmetteur inhibiteur très répandu dans les neurones du cortex.  Contribue au contrôle moteur, vision, et à plusieurs autres fonctions corticales.  Il régule aussi l'anxiété. 

Le glutamate est un enurotransmetteur excitateur majeur associé à l'apprentissage et à la mémoire.

Neurotransmetteur important pour :

- l'attention

- les émotions

- le sommeil

- le rêve

- l'apprentissage

- troubles de l'humeur

Est libéré comme hormone dans le sang où elle contracte les vaisseaux sanguins et augmente la fréquence cardiaque. 

Contribue à diverses fonctions comme :

- régulation de la température

- sommeil

- hummeur

- appétit

- douleur

- dépression

- suicide

- comportements impulsifs

- agressivité

impliqueraient tous un certain déséquilibres de la sérotonine.

On s'intéresse davantage aux interactions entre les systèmes qu'aux effets d'un système ou d'un neurotransmetteur isolé.  Il n'y a pas juste un système : ensemble, comment fonctionnent-ils?

Aussi, leur intéraction avec l'environnement : liens entre les saisons, lumière, sommeil, stress...

     -> dépression saisonnière, manie au moins de juin,

         fluctuation des troubles,

     -> NT réagissent à la lumière.

     -> Le manque de sommeil dérègle les NT, symp. de l'humeur

Souvent ces derniers ont lieu lors de troubles du sommeil (d'où l'intérêt d'étudier les interactions entre NT et environnement (i.e. sommeil)).  La personne n'a pas dormi depuis 4 jours!

Cytokine définition

Les cytokines sont des substances solubles de communication synthétisées par les cellules du système immunitaire ou par d'autres cellules et/ou tissus, agissant à distance sur d'autres cellules pour en réguler l'activité et la fonction.

Les cytokines de type inflammatoire sont en grand nombre suite à une infection; elles agissent sur le cerveau de manière à induire des symptômes de :

- fatigue

- léthargie

- perte d'appétit

- endormissement

- retrait des activités sociales

bref, elles agissent sur le système motivationnel de l'individu.

CELA SERAIT UNE RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE - aidant l'organisme à survivre lors d'une infection!

Or, une activation prolongée du système immunitaire, suite à trop de stress par exemple, semblerait expliquer en partie plusieurs désordres, dont la dépression.

Chez les personnes stressées, une augmentatoin du cortisol qui dérègle le système immunitaire pourrait emmener des réactions similaires à la grippe.  Ce serait une réaction normale du corps au mauvais événements.

Fisher (1987) et Walker (1994) ::

Possiblement, il y aurait pandysmaturation :

     - Développement visuel et moteur irrégulier (retards et

          rattrapages rapides)

L'enfant passe du 25e au 75e rang centile et retombe au bas de la courbe.  Il grandit par saccades -> a un développement irrétulier.

     - Performance anormale aux tests neuropsychologiques  

          (échecs à certains tâches mair réussite à d'autres, parfois plus

          complexes)

Réussir des tâches complexes en avance pour son âge et échouer celles qui sont très faciles.  Le développement cognitif n'est pas égal/régulier.

     - Retard de croissance

Walker (1994) ::

     - Signes posturaux et moteurs spécifiques aux enfants qui

     développent Sz (genoux vers l'intérieur, mains positions étrange)

     -Problèmes sociaux, d'isolement, apparents très tôt.

Neurodéveloppement

Quels signes sont retrouvés chez les TMG (même en rémission) et leur fratrie?

Ces déficits ont été retrouvés comme étant surtout présents chez les TMG mais aussi dans leur famille.

Ces signes pourraient signifier que des personnes sont porteuses du gène ou ont un déficit, même si les symptômes de TMG ne sont pas là. 

(1) Déficits de l'odorats

(2) Déficits du mouvement de l'oeil (saccadé)

(3) Potentiels évoqués retardés (parfois inférieurs)
(4) Déficits aux tests neurocognitifs

     - Attention (CPT, backward masking)

     - Mémoire (CVLT)

     - Fonction exécutive (WCST

Présentation de cartes, la règle n'est pas expliquée :

-> il faut que le participant la devine.

Les personnes qui ont une TMG n'arrivent pas à dépasser une règle (lors d'un changement de règle, sont perdus), et restent coincés sur une forme initiale.  La fratrie s'arrête à deux catégories.  Les contrôles = 6 catégories.

DÉFICITS COGNITIFS :  

Selon certaines études 60-80% des TMG auraient au mieux des déficits cognitifs faibles à modérés et que 25% fonctionnent à un niveau 'normal' :

   - certains résultats pourraient être dus à une faible motivation
     (ex: induits par les symptômes négatifs - dans le WCST les  

     gens s'améliorent lorsqu'ils sont payés)

   - Certaines performances s'améliorent avec le traitement

      pharmacologique (alors qu'il n'y a pas de lien entre les

      symptômes et les problèmes cognitifs).

   - Les personnes avec une dépression majeure ou un tr.   

     bipolaires ont aussi marqués sur certains tests où les Sz

     avaient marqués.

COGNITION :

Certaines études suggèrent une perte de QI d'environ 10 pts suite à un épisode psychotique (problèmes de concentration? ou déficits cognitifs liés à la maladie?)

   - Après les premières années post-premier épisode, les

     habiletés cognitives demeureraient stables (contredisent

     l'hypothèse de la démence précoce ou maladie dégénérative)

Suite au 1er épisode, le QI chute mais reste stable par la suite.  Réfute la théorie dégénérative.

   - Les problèmes cognitifs seraient parmi les problèmes les plus

     handicapant au niveau de l'intégration communautaire et

     sociale.

Il est plus handicapant d'Avoir du mal à se concentrer que de croire en jésus christ.

[image]

Modèle de GREEN et NUECHTERLEIN :

1. Les déficits ne sont pas liés aux symptômes positifs (ce n'est pas parce que la personne entend des voix).

2. Les déficits sont en lien avec les symptômes négatifs. 

[image]

Le fonctionnement social est beaucoup plus affecté par :

     1. la neurocognition

     2. les symptômes négatifs

Les symptômes positifs ne sont pas en lien avec le fonctionnement social, car c'est contrôlable facilement x la maladie, al gestion du sress, les médicaments...

Dans le développement normal :

LEs connections cérébrales (la densité synaptique) augmentent jusqu'à l'âge de 2 ans, il y a ensuite un déclin progressif pendant l'enfance et un déclin exponentiel pendant l'adolescence (pruning : les connexions non utilisées sont éliminées).

Selon les théories développementales les personnes souffrant de TMG (Sz) subiraient une mauvaise élimination (trop de synapses éliminées, trop peu, ou encore les mauvaises).

Cette théorie concorderait avec les études sur les désordres obstétriques (csq) : si une personne manque d'O2 à la naissance, le pruning laisse de mauvaises connexions.

En neurodéveloppement, que suggèrent les nouvelles études par résonnance magnétique?

Une perte de myéline de plus de 30% chez certaines personnes souffrant de Sz :

Cette perte de myéline entraînerait une mauvaise transmission d'information entre les neurones, plus spécifiquement dans les régions impliquées dans les:

     - symptômes positifs

     - la logique

     - les émotions

Cette perte de myéline serait due à certains gènes spécifiques.

Interactions entre le neurodéveloppement, esl complications à la naissance et la prédisposition génétique.

RÉSUMÉ DU COURS 04

[image]

Il peut y avoir des dérèglements au niveau :

1. des synpases

2. de la myéline

3. des stresseurs environnementaux ou biologiques (ex virus)

4. gènes transmis ou mutation (parent ou virus)

5. NT influencés par les hormones

6. NT influencés par les fx environnementaux (sommeil, lumière,

    stress, pex.)

Il y a des interactions peri et post natales