Déclinent :

1. Rapidité des processus mentaux/vit. de traitement
   [affecte démarche, équilibre, état de santé, exécution des tâches quotidiennes]
2. Attention divisée
3. Raisonnement abstrait
4. Intelligence fluide / mécanique
5. SNC
6. Altération de la mémoire chez 1/5 adultes 

Augmentent :

1. Intelligence cristallisée /  pragmatique
2. Habiletés verbales
3. Résolutions de problèmes
4. Mémoire sémantique
5. Mémoire procédurale

Les pertes mineures n'arrivent que vers 60-0 ans.  80aine : performances légèrement diminuées sur habiletés verbales et raisonnement (léger).

1. homme
2. peu scolarisé
3. niveau socio-économique bas
4. insatisfaction du succès obtenu dans la vie
5. personnalité avec faible flexibilité 

1. mémoire mécanique (disque dur, habiletés de traitement de l'information -- le comment)

2. mémoire pragmatique (connaissances basées sur l'expérience, application des connaissances, pensée pratique -- le quoi)

La qualité des décisions prises par les adultes âgés :

• déclin lent
• stable jusqu'à tard dans la vie
• les personnes âgées sont plus souples et plus efficaces
• possèdent des répertoires plus élargis et plus variés de stratégies 

1 adulte / 5 présente des troubles de mémoire (variations individuelles quant à la sévérité/nature)

• MÉMOIRE ÉPISODIQUE :  mémoire la plus touchée par le vieillissement - surtout si les événements sont réçents. Mémoire des événements et des informations sur les expériences du vécu. Événements particuliers rattachés à un lieu et temps déterminé.
• MÉMOIRE SÉMANTIQUE : mémoire des mots, connaissances encyclopédiques, lieux géographiques, etc.  Décline PEU avec l'âge, s'améliore quant à la connaissance verbale (vocabulaire et règles de langue)
• MÉMOIRE PROCÉDURALE : peu affectée par le vieilissement *normal*

1. Diminution de la vitesse du traitement de l'information via une altération du cerveau (surtout les lobes frontaux, gros neurones) et diminution des connexions.
   Le cerveau peut compenser pour des déclins liés à l'âge en mettant d'autres régions cérébrales à contribution.
2. Altération des processus d'encodage, de stockage et de récupération des informations.
   - les personnes âgées sont moins efficaces pour encoder
   - utilisent moins d'associations mentales
   - moins bonnes techniques d'encodage
3. Altération des données dans le cerveau, si bien qu'il est difficile d'aller rechercher l,information. Souvenirs peu touchés car laissent des traces et il est alors possible pour le cerveau de les reconstruire.
   Les souvenirs associés à des émotions joyeuses sont mieux conservés chez les personnes âgées.

1. Étape de choc et d'évitement [choc et négation]

2. Étape de désorganisation [tension et agitation]

3. Étape de réinsertion [équilibre affectif et réinsertion sociale]

Phase de choc et négation

1. La personne se retrouve complètement étourdite
   

   ---

2. Nie la nouvelle : 
   Les effets dévastateurs, l'ampleur de ses émotions
   S'occupe des proches, arrange les funérailles, est correct, n'a pas besoin d'aide 
   
   Nie le décès : fait comme si la personne n'était pas morte
   ou essai de se débarasser des possessions du défunt très rapidement pour faire ''comme s'il n'avait pas existé''
    

Phase de tension et d'agitation

1. Incapable de s'arrêter et de se reposer :
   Doit toujours bouger, être aux aguets, nervosité, pertes de concentrations, incapable de faire tâches habituelles, accidents...
   

   ---

2.  Envahi par des vagues d'émotions et de sensations physiques intenses
   Sensation de ne pas avoir le contrôle
   Désorientation
   Chagrin : larmes et sanglots
   PANIQUE
   

   ---

3. Réactions de nostalgie intense et comportements de recherche
   Recherche du défunt, dans les endroits qu'il avait l'habitude de fréquenter, au cimetière, obsession de l'image du défunt, intenses activités de rêve
   

   ---

4. Protestation et colère
   Réactions d'attachement (Bowlby), dirigée contre des cibles variées.
   Irritabilité diffuse et amertume face à la vie
   

   ---

5. Dépression et désespoir
   Fait surface lorsque la colère faiblie
   Est en lien avec le caractère IRRÉVERSIBLE de la perte
   Affaissement psychologique, perte d'appétie, insomnies, négligence, malnutrition, dépendances alcool et drogue
   

   ---

6. Identification avec le défunt
   Tente d'empêcher la personne de disparaître en prenant ses rôles, en faisant ce qu'il ferait s'il était encore ici, adoption inconsciente de ses mimiques
   

   ---

7. Construction d'une représentation mentale du défunt
   Éradication des traits négatifs, image enjolivée
   

   ---

8. Sentiment de soulagement
   Lorsque le décès est après une longue maladie
   Sentiment de libération (culpabilité assoicée)

Retour à l'équilibre affectif et réinsertion sociale

Diminution progressive des réactions, réactions émotives à mions grande échelle, phase transitoire : phase de convalescence!! Possibilité d'éprouver encore des réactions de phase 2, mais moins intense. Moins fréquent, moins longue durée.
CULPABILITÉ : on réorganise les sphères de sa vie, redéfinition de ses rôles et de son identitée, associée. 

La perte d'un lien privilégier se traduit par une série de déficits.

Deuil = déficit primaire (perte de la personne) + déficits secondaires (rôles, apports matériels et affectifs associés à cette personne)

État de stress de l'endeuillé inversemment proportionnel aux ressources de la personne.

1. Type de décès et contexte : enfant & conjoint+
2. Âge de la personne endeuillée
3. Sexe de la personne endeuillée
   [femmes = abandon, vont moins bien après la 1ere année, mais meilleure rétablissement]
   [hommes = amputation, moins hostile et irritable, mais culpabilité +++ et moins bon rétablissement]
4. Circonstances du décès : anticipé/violent +
5. Importance de la perte : perte principale + secondaire
6. Facteurs concurrents : surcharge (stress, deuils)
7. Ressources du sujet (bio, intelligence, personnalité/estime de soi, expériences de vie)
8. Facteurs physiques : calmants, somnifères, exercice, alimentation +/-
9. Quantité et nature des choses non terminées
10. Caractère assigné à la mort (approprié? légitime?)
11. Réseau social
12. Anticipation vs subit
13. Gains cachés
14. Qualité des rites funéraires : se situer dans le décès, exprimer la peine, commencer à mettre de l'ordre, soutient social, sens religieux ou philosophique
15. Niveau socio économique
16. Flexibilité / résistance au changement

Changements auditifs liés au vieillissement *

Presbyacousie : perte auditive neuro sensorielle

• sons de haute fréquence
• graduel
• bilatéral
• symétrique
• Accompagné ou non de problèmes de discrimination de la parole

Oreille externe : pas de problème :)

Oreille moyenne : tympan plus mince et osselets moins mobiles, mais peu d'effet

Oreille interne : les effets les plus néfastes se produisent au niveau de la cochlée!!!

1. Lésion sensorielle :
• perte de la SENSIBILITÉ des cellules basales de la cochlée
• perte abrupte de l'audition des hautes fréquences
2. Lésion neuronale :
• Perte des neurones cochléaires
  Problèmes avec le nerf auditif (8e nerf crânien)
• Perte progressive de la discrimination de la parole
3. Lésion striale:
• Changements métaboliques et vasculaires dans la cochlée
• Perte d'audition lente et progressive et bonne discrimination de la parole
4. Lésion conductrice:
• Changement dans la conduction/résonnance du conduit cochléaire
• Perte d'audition (linéaire, baisse)
5. Lésion indéterminée:
• Perte abrupte pour les sons aigus
6. Mixte
• Perte moyenne à modérée des hautes fréquences

Les hommes one unt perte plus précoce et plus importante que les femmes... (exposition aux bruits??)

Système central :

1. nerf vestibulocochléaire (VIII) : diminution de l'influx (100%)
2. Changements dans le cortex auditif primaire :
• diminution du # de neurones
• altération neurochimique
• perte de l'influx / système auditif périphérique déficient

conséquences :

• difficulté dans la compréhension de la parole (+ que par perte physique de l'audition)
• difficulté de discrimination de la parole
• amplificateur externe ne peux pas corriger entièrement le problème

Perte significative de l'audition chez 25-40% des gens de 65 ans+

50% chez 75 ans et plus

80% chez 85 ans +

• variabilité individuelle des répercussions
• diminuer la qualité de vie, bien être social, bien-être psychologique
• dépression
• paranoïa
• isolement

1. Parler face à face
2. Articulier clairement les syllabes
3. Utiliser un débit adéquat
4. S'assurer que le message ait bien été compris

- modifier l'environnement (calme)

- appareil adaptés (ampli pour tel, télétranscription, etc)

- aide auditive

Cornée (réfléchir lumière vers la rétine):

• moins transparente
• moins courbée (moins de réfraction)

1. Éblouissement et diminution de la sensibilité aux contrastes

Humeur aqueuse (nutriments, déchets, P):

• siège du glaucome (lésion du nerf opt. par P++)

1. CÉCITÉ

Iris et pupille (régulariser la lumière):

• atrophie des muscles de l'iris qui réduit le diamètre de la pupille

1. Diminution de l'acuité visuelle (surtout si luminosité faible)

Cristallin (accomodation):

• perte de transparence
• Cataractes
• Presbytie (diminution de l'élasticité du cristallin et des muscles lors de l'accomodation - pas voir de proche)
• Jaunissement

1. Difficulté à discerner les couleurs, diminution de la vue

Humeur vitrée  (forme de l'oeil et garde rétine)

• moins transparente et plus liquide
• vision de corps flottants

Rétine :

• Diminution des cellules photoréceptrices mais N'AFFECTE PAS LA VISION
• Dégenerescence macculaire = perte graduelle du centre de la rétine (CÉCITÉ ++)
• Adaptation à l'obscurité plus lente et moins bonne

Résumé :

1. diminution de l'accuité visuelle et dynamique

2. presbytie (pas voir de près)

3. difficulté d'adaptation au noir

4. sensible à l'éblouissement

5. altération des couleurs

6. moins sensisble aux contrastes

Solutions : éclairage, éviter éblouissement, contrastes des couleurs, agrandissement ou aides non visuelles

1. Phase 1 plus longue
2. Phase 2 plus longue ou peu changée
3. Phase 3 diminue
4. phase 4 diminue jusqu'à disparaître

Diminution de l'amplitude et fréquence des ondes deltas qui n'atteignent pas les critères du stade 3 et 4.

Sommeil paradoxal : diminution; sur l'ECG ondes ressemblant à l'éveil plutôt qu'au sommeil.